L'article du mois
Enfin… de certains mois. Je ne suis pas très régulier 🙂
NOVEMBRE 2025
Quand l'expérientiel questionne
Je me suis fait épiler. En général, nous, hommes, on ne le crie pas sur les toits, même si, pourtant, nous sommes nombreux à nous assujettir au jeu des bandes de cire. Pour elles, c’est normal, voire conseillé, voire imposé dans la représentation que les hommes se font des femmes. Pour ‘ils’, c’est normal, voire conseillé dans la représentation que les hommes se font d’eux même, mais ils ne le disent pas. Petit regard de connivence en sortant du salon avec les hommes dans la salle d’attente.
Ca m’a en tout cas occasionné une magnifique discussion pendant la séance avec l’esthéticienne, 40 ans de métier. Enfin… discussion, c’est une façon de dire… Elle, elle parlait normalement. Moi aussi, je parlais normalement, sauf quand je hurlais en m’accrochant à la table. Je ne suis pas coutumier de la chose (l’épilation). J’ai donc eu droit à un cours approfondi sur le destin des follicules non régulièrement contrariés. Que j’ai écouté religieusement, tout en criant. Mes cris ont dû en faire rire certaines, dans les cabines voisines. « Heureusement que vous n’avez pas à accoucher », m’a glissé l’esthéticienne avec un clin d’œil, entre deux soupirs que je ne qualifierais pas d’explicitement compatissants. Elle a même failli abandonner, à un moment, battant en retraite devant les mouvements désordonnés de mes jambes (que je ne maitrisais pas, ayant les deux mains sur les yeux pour ne pas voir l’étendue de ma douleur). Mais je lui ai fait remarquer que je ne ressemblerais à rien, si je ressortais de son institut comme ça, épilé seulement à gauche. Elle a dit : « ok, je continue, mais n’oubliez pas que ma tête est à l’aplomb de votre jambe ». J’ai promis de faire attention.
Mais l’intérêt de la conversation était ailleurs, quoique c’est toujours intéressant d’écouter des gens parler avec passion de leur métier. Elle a surtout porté sur l’évolution de la représentation de leur corps par … les gens. Cette femme en voit passer plein qui se posent des questions sur leurs corps, au point de les faire remodeler, raboter, gonfler, farcir comme des poulets. Et ça n’a rien d’une farce. Car ce travail permanent pour modifier notre nature marque une prise de distance de plus en plus grande avec celle-ci. Et de plus en plus réduite avec ce fantasme alimenté par tout ce que la société compte de lobbies, de groupes de pression, de commerçants, qui prônent tout courant convergeant avec leur profit. Nous transformant en banc-tests volontaires de tout et n’importe quoi.
Mais le nôtre, d’intérêt, où est-il ? Quand on arbore des lèvres qu’on dirait modelées par une appli mal réglée, des fesses tellement grosses qu’elles obligent à dormir des semaines sur le ventre, pour ne pas prendre le risque de les voir se dégonfler, des cils qui maintiennent, par leur poids, les paupières en position semi-fermées, ou des pommettes sur lesquelles on pourrait, à l’occasion, poser une cigarette quand on ne sait qu’en faire… Que dire encore, quand on s’implante dans le corps, définitivement vivant et évolutif (enfin, jusqu’à un certain point) des matériaux définitivement inertes, qui resteront à terme saillants, quand le reste aura fait depuis longtemps ami-ami avec la gravité…. J’ai même vu qu’en Turquie, une opération de plus en plus en vogue consiste à se faire rallonger les jambes. Hmmmm, intéressant…
Je ne suis pas là pour juger, et je ne juge pas. J’étais moi-même sur cette table de torture à m’engager dans des danses aussi agitées que ridicules pour supporter ce que je m’inflige. Même pas sur demande, uniquement parce que la représentation que je me fais de moi-même, en ce moment, va dans ce sens (je n’en discuterai pas ici). Mais dès lors qu’on s’engage sur ce chemin, peut-on être sûr qu’il a une fin raisonnée, et raisonnable ? Parce qu’à regarder dans la glace, quand on se lève le matin, maussade, ce plissement au coin des yeux, ces rides de la marionnette et autres plis d’amertume, en se disant parfois qu’un coup de bistouri serait peut-être le bienvenu, on ne sait pas que de coups de bistouri en introductions de prothèses, le chemin peut se dérouler sans fin…
A papoter entre deux cris perçants avec mon esthéticienne de choc, nous sommes tombés cependant d’accord sur l’excès de certaines tortures que l’on se fait subir. Répondant à moultes injonctions que l’on se fait, voyant la solution là où on la pense, sans comprendre qu’elle n’y est pas. Là où un dialogue plus empathique avec nous-même résoudrait déjà nombre de questionnements. Là où une approche plus douce du rapport que l’on entretient avec notre corps éliminerait nombre de ces pistes qu’on imagine généralement dans un momentané dégoût de soi.
Moi, je milite pour le massage tantrique, bien sûr, comme première approche, qui permet de mettre en place une passerelle de corde pour accéder à soi-même et établir les premières conditions d’un dialogue fructueux entre soi et soi, drapeau blanc levé en signe de paix. Façon de dire « je ne vous veux que du bien ».
Je faisais remarquer à mon esthéticienne que je trouve les femmes quinquagénaires, sexa et septuagénaires souvent magnifiques, parce que justement elles portent leur histoire sur elles. Non une histoire trafiquée et passée par tous les filtres Photoshop possibles, mais une histoire authentique nourrie par des années et des années. Mais comment l’entendre dans un monde où l’imaginaire est saturé de tant de biais de toutes sortes, qui sont tout sauf réels ? Où les actrices de plus de 50 ans sont bannies des plateaux? Où on est séniors à 45 ans…
Sur cette table, je n’avais d’autre réponse que ma douleur au demeurant très réelle, et la complicité certaine de cette esthéticienne que je remercie pour sa patience, son érudition du corps et son sens de l’observation. Ainsi que pour son dialogue qui m’a permis de ne pas m’apitoyer sur moi-même.
Comme dirait Souchon, dont je n’imagine pas une seconde qu’il se plie à cette dictature de l’éradication : C’est déjà ça.
SEPTEMBRE 2025
ARVO PÄRT, PRÊTS? PARTEZ...
JUILLET 2025
LAISSER L’INEXPLORE PARLER
Je lis dans le magazine « inexploré » : « Pour les peuples animistes, rien n’est séparé. Tout est en lien : La pierre, l’arbre, le vent, la pensée. Le sacré ne réside pas dans un ailleurs lointain, mais dans la qualité des relations que l’on entretient avec ce qui est là. Habiter le monde, c’est entrer en dialogue avec lui. Ecouter les signes, honorer les formes, accueillir les mystères. «
Cet état de mystère, c’est d’abord notre état propre, nous même vis-à-vis de nous-même. Nous ne nous connaissons pas. Nous sommes des étrangers pour nous-mêmes, tentant tout au long de notre vie de nouer un dialogue constructif avec notre corps. Difficile de nous mettre en contact avec ce qui est autour de nous, les mystères de la vie, quand nous-mêmes sommes, à nos propres yeux, une énigme.
Nous connecter à nous, nous permettrait pourtant de nous connecter à la Vie. Mais à une époque où apparait le concept d’enfant d’intérieur, qui préfère dialoguer avec le monde via l’interface de son ordinateur, plutôt que de sortir dans la Nature (voire la Ville, voire tout ce qui n’est pas le cocon de sa chambre), cette connexion à nous même est de plus en plus hasardeuse. Les Shirin Yaku, du nom de ces méditations avec la Forêt, en vogue au Japon, ne sont pas encore, ou peu, arrivés chez nous.
Notre corps, c’est le Monde majoritairement inconnu des temps premiers, un peu moins inconnu au fur et à mesure de l’écoulement des siècles, à la mesure de l’exploration de territoires de plus en plus grands. Même si le principe de cette connaissance est un grand mot, puisque loin de les écouter, nous avons plaqué sur ces territoires une intelligence formatée selon nos paramètres pour les mettre en coupe. Avec notre corps, nous faisons pareil : nous l’abordons comme ces explorateurs du XVIIème, débarquant en Afrique. Avec appréhension, idées toutes faites, toutes défenses érigées… mais rarement dans l’écoute simple et attentive.
En fait, ce corps qui est notre véhicule terrestre, c’est juste un gros point d’interrogation. Oh, il ne manque pas de moyens pour partir, non à sa conquête, mais à sa rencontre. Les psys de tous poils sont là, pour servir de marche pied, de passerelle, de traducteurs, d’accoucheurs. Les psys et les autres, tant sont nombreux ceux qui font office de nous accompagner vers nous-même. Par la réflexion, l’hypnose, les approches psychédéliques, l’expression corporelle. Nous ne manquons pas d’idées pour lancer des ponts entre nous-même et nous-même. Souvent par le mental. Tant ce mystérieux véhicule terrestre de notre âme incarnée nous pose problème. Mais est-ce suffisant ?
En tant que masseur, je reçois nombre de personnes qui sont totalement déconnectées de leur corps. Celui-ci est comme un véhicule en location longue durée, dans lequel il leur est difficile de s’investir. Pas ou peu d’écoute d’eux-mêmes, pas de conscientisation de leur image… la cartographie mentale de leur corps n’a que peu de choses à voir avec l’image que ce dernier renvoie. Pas d’accès à leur ressentis… d’ailleurs, quels ressentis ? L’écoute de ses ressentis suppose que le corps a été approché, et que ses différentes parties ont fait l’objet d’un contact, d’une attention, d’une révélation à la conscience. Une zone qui n’est jamais touchée ne peut être éveillée à sa sensibilité, et ne renverra aucun message. Quant à la dimension sacrée…. La relation sacrée au corps demande déjà un certain effort de compréhension de la portée de ce mot : sacré.
Le dialogue avec son corps est un voyage au long cours. Qui ne s’arrête jamais, passant à travers tempêtes et zones de calme ; Mais cette cohabitation s’inscrit elle un jour dans l’apaisement ? Elle a été tellement conditionnée, malaxée, brassée par tout un tas d’affects, de réactions, de chocs, de détachements, d’abandons, d’élans divers, amoureux, amicaux… Et le corps lui-même change tellement, que c’est parfois difficile d’enfiler le fil dans le chas de l’aiguille de la machine à coudre, pour relancer une couture solide et bien droite, si une déchirure apparait dans le patchwork en éternelle recomposition de notre corps et de notre relation à ce dernier.
Je suis parti du mot ‘inexploré’, du titre de ce magazine auquel je viens (enfin) de m’abonner. J’ai une excuse : je ne le connaissais pas, avant. Corps inexploré. Nous sommes tous et toutes investis de ce magnifique véhicule, mais sans carnet d’entretien, ni fiche technique. Nous ne nous connaissons littéralement pas. Et nous passons notre vie à questionner la réalité de ce corps et notre rapport à ce dernier.
Comment nouer un dialogue avec qqch qui change tout le temps, et une langue d’expression elle-même en constante réinvention ?
Pour autant, le challenge est là : il faut apprendre à cohabiter avec lui, tout en acceptant sa part de mystère, d’inexploré. Comment faire ? Peut-être en invitant l’intellect à s’effacer. En privilégiant une approche terre à terre. Et j’emploie l’expression ’terre à terre’ dans sa dimension la plus noble, à l’inverse du sens qu’on lui prête d’habitude : Terre à terre, comme dimension terre de vie à terre de vie. Terre nourricière. Dimension animiste. Se poser, mediter, observer, examiner ce qu’il y a autour, sentir le vent sur sa peau, jusqu’à ce petit pois d’Andersen placé sous notre couche pour évaluer notre sensibilité, goûter la chaleur du soleil ou la réverbération d’une pierre. Ce n’est pas forcément une ascèse que d’écouter, mais c’est un apprentissage, à commencer du détachement, d’une ouverture à plus grand pour avoir accès à soi. S’inscrire dans une dimension plus grande.
L’été est déjà là. Il n’est pas que mouvement, il n’est pas que voyage, il n’est pas qu’agitation. Il est aussi inscrit dans le calme, la méditation et l’observation. Je vous invite, dans la chaleur languide ce cet été, à vous déposer, à venir à la rencontre de cet autre qui est vous. Pourquoi pas par le massage. L’inexploré pourrait alors, peut-être, glisser vers autre chose. Parce que votre corps, enfin par vous-même écouté, pourrait prendre (reprendre) l’initiative de vous parler.
Et on le sait bien, quand on prend ce temps d’écouter quelqu’un, il a en général plein de de choses à dire.
JUIN 2025
LA LIBERTE D ETRE SOI
Vaste sujet…. Quand je parle d’accès à leur liberté, via le massage tantrique, aux personnes qui viennent me voir, les yeux s’écarquillent. Avec parfois un petit rire, gêné. Oooh, la liberté….
On en a peint, de tous temps, des tableaux, sur ce thème, écrit des livres, fait des conférences. Le sujet est passé à la moulinette de toutes les stratégies, il est instrumentalisé, brandi. Chanté. Il est décrypté, disséqué, voire présenté comme une évidence qui serait intégrée par tout le monde. Universelle. Elle est sur tous les drapeaux qui se battent pour un monde meilleur. Elle est partout….
Pour autant, à quel moment l’a-t-on expérimentée soi-même ? Non par des lectures, des approches mentales, mais dans notre corps ? Jamais. Ou quasi… Parce que ce dernier, on l’a toujours approché, en grande partie, via les autres. Par leurs regards, leurs compliments ou critiques, leurs prises de position, leurs gestes plus ou moins stéréotypés. Par les journaux pour superposer à l’image que nous renvoie la glace celle d’une photo sur papier glacé, en imaginant que c’est nous. Par le recours à la salle de sport pour ressembler à un idéal. Par l’inscription dans un amour ou une relation de circonstance, connectée à seul but de nous renvoyer une image de nous… Quand pose-t-on le décor, le mouvement ? Quand arrête-t-on de courir pour se questionner sur notre propre liberté à être dans notre corps? Quand fait-on attention, dans l’émotion et le ressenti, à soi ? Rien qu’à soi ?
Jamais. Ou quasi. Un clou chasse l’autre, une idée se superpose à une autre, nous n’arrêtons jamais. Peut-être, justement, pour ne pas nous questionner sur le fond. Sur nous. Le temps est difficile à poser, le silence est brouhaha, et le mouvement est tellement plus simple que l’immobilisme.
Toute la question est donc de comment aller vers soi ? Dans la paix, l’amour de soi, l’acceptation pleine et entière de qui l’on est. Dans le lien aussi…
Et dans quelle liberté s’inscrire ? Liberté d’être ou liberté d’agir ? Qu’importe… D’abord en considérant que ce n’est pas un défi inatteignable, ce n’est pas un Annapurna auquel se confronter, car elle est juste là, devant nous, attendant qu’on la connecte. Mais pas à la façon d’un tout-ou-rien exclusif, d’un renversement de paradigme, d’un abandon définitif de ce qui nous a construit. A la façon d’un essai, à transformer ou non.
Connecter une liberté dans le respect de soi, pour commencer. Celle qui prend en compte notre histoire, nos triggers, nos retenues, celle qui fait attention. Parce que nous ne sommes jamais un terrain vierge sur lequel la Liberté, à commencer par la nôtre, peut planter son drapeau de façon inconditionnelle. Nous ne pouvons pas abandonner en rase campagne, du jour au lendemain, ce qui nous a structuré. Même si la liberté est ce petit ruisseau où l’on peut s’abreuver, jour après jour, pour, peu à peu, changer notre Monde.
Cette liberté, celle dans laquelle j’invite tel ou telle à s’inscrire par le massage, est d’abord cette ouverture que l’on s’accorde pour ressentir. Les choses, les sensations, les mémoires, le plaisir, la douceur, le lien à soi, en remplaçant les lectures externes de soi, par des sensations internes. Dans l’ouverture, en se posant simplement. En laissant de côté les (auto)-jugements, les pensées limitantes. Et surtout, cette pensée qui voudrait qu’il faut absolument faire qqch. Donc, première étape, la laisser de côté, en osant ne rien faire, en osant ne pas se mettre en situation de renvoyer un message, ne pas s’obliger à répondre à quoi ou qui que ce soit. En ne suivant rien d’autre que ses propres ressentis, dans le silence de l’instant. Le voyage vers soi peut alors commencer, en se laissant glisser dans ce geste qui accompagne, la respiration qui scande et connecte, dans l’écoute de ses cellules, de cette main qui se déplace tellement, tellement lentement à la surface de sa peau. Mouvement quasi immobile, mais intense.
C’est une invitation à une forme rare de massage que j’expose ici, que je n’hésite pas à qualifier d’assez unique. Je ne sais pas comment la qualifier autrement. C’est pour moi une forme de graal du massage. Le mouvement, le temps, tout s’arrête, parce que l’espace bascule dans la méditation pure. Mais je ne peux le pratiquer qu’avec des personnes qui viennent me voir sans attente particulière, dans l’écoute de ce qu’elles sont. Et ce n’est pas facile. C’est même très rare. La vie nous a conditionné à nous inscrire dans le faire, et débrancher cette prise n’est pas simple. Pour autant, cette forme de massage n’est pas exclusive des autres. Elle en est simplement une des branches.
Mais elle est rare, parce qu’elle n’appelle rien. Le mouvement est tellement lent qu’il ne se perçoit qu’au déplacement des crêtes des empreintes digitales sur la peau. Quasi au niveau cellulaire. Tellement lent, que mes yeux s’ouvrant, ma main me semble exactement au même endroit que 10mn, un quart d’heure auparavant. Tellement lent, que la connexion au corps de la personne massée devient verticale, passant à travers les couches de derme, connectant ce qui est enfoui au plus profond d’elle-même. L’horizontalité disparait. Tellement lent qu’il ne se passe rien en apparence, mais seulement en apparence. Parce que tout le corps du ou de la massée est parcouru de micromouvements. Comme ayant attendu ce moment précis, où, se considérant totalement à son écoute, il peut enfin s’exprimer. Dans une subtilité qu’il ne connecte que rarement.
Ce massage est intrinsèquement méditatif. Je suis, comme la personne devant moi, totalement dans un état de conscience modifiée, et la fin du massage se passe usuellement dans un silence absolu, où chacun cherche ses repères, prenant du temps pour revenir à la réalité. A reconnecter ce qui est autour de lui. A chuchoter au lieu de parler.
Quand j’évoque la liberté, c’est celle-ci que je veux illustrer par ces propos. A laquelle je vous invite. La liberté que l’on peut s’accorder, parfois, de n’absolument rien faire. De se glisser simplement dans sa combe, en connexion, et de se confier à plus grand que soi.
Et cette liberté n’est pas hors de portée. Elle est juste là, à connecter. Elle est même souvent là, elle est simplement en attente de.
Je vous invite à m’appeler pour en discuter. En passant par la page contact de ce site. Et peut-être qu’au terme de cet échange, vous laisserez-vous tenter par ce qui est vraiment une aventure. Mais une aventure à contrario d’un caisson d’isolation sensorielle, à expérimenter et vivre dans le lien.
En sus, qq textes écrits sur FB, ce mois-ci, au fil de l’eau…
NOTRE NUDITE, TRANQUILLE FIL CONDUCTEUR DE NOTRE EVOLUTION?
©-Bruno Deck-Aimé, masseur tantrique, Matanoma • 2023 • Textes et photos